— Ma langue et ma queue se disputent la première visite dans ta chatte…
— Pourtant, c’est la seconde venue qui rafle tout, non?
Étiquette : Cunnilinctus
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Deux-cent-vingt-neuf
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Deux-cent-vingt-quatre
Elle revient de chez son amant. Je pose ma langue partout où il est passé, dans l’espoir que la salive apporte l’oubli.
« Il y a un coin que tu oublies toujours et ça mènera à ta perte » me dit-elle, mi-figue mi-raisin.
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Cent-cinquante-six.
Il me baise les pieds quand je pénètre nue dans sa chambre, ça fait partie du rituel et gare à lui s’il se défile. Ensuite, je m’assois sur le lit, le dos contre le mur pour qu’il puisse s’occuper convenablement des replis moites de ma chatte, ce qu’il fait en les écartant et en refermant doucement du bout des doigts comme si, aveugle, il cherchait son chemin à tâtons ou il lisait un livre écrit en braille. Ses yeux fermés, un sexe dans chaque main, ses lèvres frissonnent et moi, yeux grands ouverts, je le regarde, à genoux, nous faire jouir à l’unisson.
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Cent-quarante-neuf.
Sur ses lèvres, un goût mentholé de crème contre les gerçures. Je lui demanderai d’en rajouter avant de lécher ma chatte.
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Soixante.
— Je ne garde les cheveux longs que pour la fellation. Le seul intérêt de la tignasse est qu’on l’empoigne pour moduler les mouvements de la tête.
— Et pour le cunnilinctus ?
— La chevelure est sans importance. Pire : elle est un embarras.
— Je viens soudainement comprendre pourquoi tu ne dates que des butchs.
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Vingt.
« Assieds-toi… là », dit-il en pointant son sexe de l’index.
J’applique donc du lubrifiant sur ma fente et j’enfourche sa pine bien dure d’avoir été branlée longtemps, avec application. Évidemment, ce salaud décharge aux premiers coups de boutoir – alors furieuse, je lui écrase mon con au visage pour qu’il boive tout son foutre avant de me faire jouir.
