Angélique revient à la maison après une soirée où elle s’est apparemment fait baiser de mille manières. Elle me dit :
— J’en ai sur les fesses, sur le ventre, sur les seins et ça me coule à l’intérieur des cuisses, en déposant son sac sur la table.
Plus tard, elle a pris une douche et me rejoint au lit, pimpante.
— Ça fait du bien… me dit-elle en m’embrassant dans le cou.
Je n’ose pas lui demander de quelles ablutions elle parle.

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